A la mémoire de Sahar khodayari, connue sous le nom de Blue Girl, morte le 9 septembre 2019 à Téhéran.
Elle s'est immolée par le feu devant le tribunal révolutionnaire islamique de Téhéran pour protester contre la peine de six mois d'incarcération qui lui avait été infligée pour avoir tenté d'entrer illégalement et non voilée dans le stade Azadi.
On la surnommait Blue girl, "la fille bleue", car elle aimait arborer la couleur bleu d'Esteghlal, son équipe favorite.
Cet événement tragique m'a amené à travailler sur un projet d'une série de sculpture en porcelaine de très petite taille (maximum 10 cm).
La blancheur de porcelaine évoquant la pureté et le bleu de l'encre coulée sur le visage et le corps des femmes nues font rejaillir la douceur féminine et le parfum de liberté de droit de disposer de leurs corps.
Le choix de petite taille évoque leurs droits fortement réduit face à l'immensité de pression politique et social.
Elle s'est immolée par le feu devant le tribunal révolutionnaire islamique de Téhéran pour protester contre la peine de six mois d'incarcération qui lui avait été infligée pour avoir tenté d'entrer illégalement et non voilée dans le stade Azadi.
On la surnommait Blue girl, "la fille bleue", car elle aimait arborer la couleur bleu d'Esteghlal, son équipe favorite.
Cet événement tragique m'a amené à travailler sur un projet d'une série de sculpture en porcelaine de très petite taille (maximum 10 cm).
La blancheur de porcelaine évoquant la pureté et le bleu de l'encre coulée sur le visage et le corps des femmes nues font rejaillir la douceur féminine et le parfum de liberté de droit de disposer de leurs corps.
Le choix de petite taille évoque leurs droits fortement réduit face à l'immensité de pression politique et social.